Anne Osmont une philosophe dit ceci : vivre. C’est mourir un peu chaque jour. Je voudrais changer de paradigme en disant plutôt Naître C’est vivre un peu chaque jour.  ainsi, chaque jour que le soleil fait, nos yeux, s’ouvrent, peut-être même se décillent-ils pour comprendre que la vie se définit, comme étant un échange avec le milieu extérieur dans une relation à double sens. Nourrir et protéger, s’en nourrir et s’en protéger.  Quelle plus belle invitation respecter le monde extérieur comme notre monde intérieur. Ce qui nous en sépare, c’est tout simplement notre ego, notre mépris, notre incompréhension devant l’ineffable.  pourtant, lorsqu’on commence à travailler en acupuncture traditionnelle, c’est-à-dire où l’homme prend la place qui lui est échue entre le ciel et la terre. Nous ne pouvons que ressentir de l’humilité devant ses forces qui nous font vivre. Chaque mot alors du Tao Tö King devient une ode à l’amour de ce qui nous entoure, et donc à nous-mêmes. Allez, bon vent !
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